Plantation arbres et arbustres : bilan 2025
Cet hiver, de nouvelles plantations renforcent les rives de la Reyssouze. Elles participent à la stabilité des berges, à la préservation des écosystèmes aquatiques et à la gestion des risques liés aux inondations, tout en maintenant un équilibre entre sécurité et protection environnementale.
Hiver 2025-2026 : la Reyssouze se pare de nouveaux arbres et arbustes
Planter des arbres ne se limite pas à un simple geste environnemental. Chaque plantation tient compte des enjeux climatiques, écologiques et paysagers du territoire.
Reyssouze et Affluents a accompagné d’importants projets de plantations en 2025 :
Basse Reyssouze : 4 603 arbustes et 325 arbres (4,5 km de haies)
Pont-de-Vaux : 1 216 arbres et arbustes
ReyDeCa : 1 895 arbustes et 61 arbres
Montagnat : 400 arbres et arbustes
Les arbres jouent un rôle vital dans la préservation des rivières, en contribuant à la stabilité des berges et au maintien des écosystèmes aquatiques. Toutefois, leur présence peut parfois augmenter certains risques, notamment les inondations. Dans ce contexte, l’intervention humaine est indispensable : lorsque la coupe d’arbres est nécessaire pour prévenir des catastrophes, nous veillons à replanter pour préserver l’équilibre entre sécurité et protection environnementale.
Ces plantations participent ainsi à la gestion durable de la rivière et au soutien de la biodiversité sur le long terme.
Une action inscrite dans la durée
Les plantations réalisées à l’hiver 2025-2026 s’inscrivent dans la continuité des actions engagées par Reyssouze et Affluents.
Elles contribuent à la restauration des fonctionnalités naturelles des cours d’eau, à l’adaptation au changement climatique et à la gestion durable des rivières du territoire.
Planter pour compenser, restaurer et anticiper
Pour Reyssouze et Affluents, la coupe d’arbres n’est jamais une décision prise à la légère. Elle peut toutefois s’avérer nécessaire dans le cadre :
des travaux de restauration des berges,
du retrait d’espèces non adaptées,
ou de la prévention des risques, notamment lorsqu’un arbre menace de tomber ou de générer des embâcles.
Chaque coupe est systématiquement compensée par la plantation d’essences adaptées et favorables aux écosystèmes aquatiques.
Bien que les effets soient difficilement perceptibles à court terme — un arbre met généralement entre 20 et 50 ans à devenir adulte — la coupe est systématiquement compensée par la plantation d’espèces adaptées et favorables aux écosystèmes aquatiques. Les choix d’essences tiennent compte des caractéristiques locales, mais aussi de l’évolution attendue du climat, afin de garantir la pérennité des plantations.
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