Reyssouze et Affluents a déployé sur l’ensemble de son territoire :
→ Trois stations autonomes, mesurant en « temps réel » les niveaux et température d’eau (2022 et 2023).
→ Un réseau de 16 sondes thermiques (2023) pour établir un profil thermique des cours d’eau du bassin versant, le rôle de chacun dans l’évolution des températures ainsi que l’efficacité ou non des travaux de restauration et de plantation de la ripisylve.
Ces installations permettront de mesurer les effets des opérations de restauration menées par le syndicat dans le cadre du contrat environnemental 2022-2024. En outre, l’installation d’un réseau de thermie permettra d’appréhender l’évolution des eaux de surface face au changement climatique et d’orienter les futures opérations vers celles qui ont le mieux fonctionnées.
En près de deux ans, plus de 500 000 mesures ont été enregistrées par l'Observatoire des eaux superficielles de Reyssouze et Affluents. Afin de bancariser et traiter ces données, une solution technique a été adoptée. Elle permet également de verser les données en temps réel sur HydroPortail.
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Début Juillet 2024, l’observatoire de Reyssouze et Affluents nous a offert un moment de poésie. Les courbes d’un indicateur, la vitesse moyenne de montée des eaux, tel un électrocardiogramme, nous ont permis de « voir » le battement de cœur de la Reyssouze à la station de mesure DREAL de...
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Il peut sembler paradoxal que certaines nappes montrent des niveaux bas malgré des pluies récentes. Cela s'explique par la nature des nappes inertielles. Ces nappes, constituées de craie, calcaire non karstique ou grès, ont une capacité de réaction très lente. Mais quelle est la situation des nappes dans l'Ain ?
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Les lauréats de l’appel à projets « Fonds MAIF pour le vivant – Nature 2050 » édition 2024 ont été annoncés jeudi dernier 9 mai, lors de l’AG MAIF. Reyssouze et Affluents fait parti des 11 lauréats de cette édition.
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